-"L'homme qui vient de partir avait d'immenses qualités dont nombre de ses proches ont pu bénéficier...Il est une chose qui mérite d'être rappelée, et à installer en quelque sorte à la même altitude que les vertus majeures, il s'agit de la gentillesse naturelle du coeur, la bonté, et dans son avatar familial ,la tendresse...Je nous revois lors d'une réunion familiale chez moi, à Draveil,où figuraient plusieurs Sattonnay, autour de leur mère et de la mienne,venues l'une de Rouen, l'autre d'Orgelet .Le dîner terminé, Jean et sa mère se sont assoupis en se tenant par la main.Je n'ai jamais oublié cette scène...
J'ai de plus envers lui une grande dette de reconnaissance, tant son aide me fut essentielle pendant ma période parisienne." Michel Jacquot , cousin de mon père.
-"Nous garderons le souvenir d'un compagnon chaleureux attaché aux valeurs humaines amicales et sociales, aussi bien dans sa vie quotidienne que dans la vie associative que nous avons partagée pendant de nombreuses années" -Maurice Michel- Ordre National du Mérite.
-"Je garde précieusement le souvenir de la petite fille de 8 ans que j'étais et que tu faisais "courir après les nuages" en side-car, sur la route de Montbard à Dijon,lorsque tu venais me chercher le dimanche"- Françoise Laubier, sa nièce.
" C'est le coeur serré que je vous présente mes condoléances affectueuses. Il faut considérer que j'étais très proche de Jean et de toute la famille d'Orgelet. J'étais au lycée de Lons-le-Saunier dans la même classe que lui de la sixième à la première et j'allais alors passer 8 ou 10 jours à Orgelet chez Mme Sattonnay mère pendant les grandes vacances d'été.
Par la suite, j'ai revu plusieurs fois Jean en mission moto à St Claude où j'avais un commerce de 1954 à 1976.
Il est donc normal que j'éprouve de la peine, d'autant plus que c'était un conscrit né en 1916..."
Maurice Ethevenard, cousin de mon père.
(Ce mot s'adresse à son épouse):
"C'est avec effroi que je viens d'apprendre le décès de votre mari Jean.Vous êtes tous deux, depuis longtemps, présents dans mon coeur et dans ma vie. Aujourd'hui plus que jamais, je veux m'associer à votre douleur et à celle des vôtres. La mémoire de cet être cher et des heureux moments passés ensemble continuera à illuminer nos existences (...)". Marc GERARD, un ami de Domptin (Aisne).
13/12/2010.
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